Je parlais, l'autre jour des Monty Python à propos de l'histoire de Leg et de la pub SFR, voici donc une animation de Terry Gilliam. Rien ne vaut l'original :-)
Je suis absolument d'accord avec toi. Cette polemique est sterile, mais si elle a déchainé tant de réactions c'est aussi parce que elle a déclenché beaucoup de passions. In y a encore un truc à retenir dans cette histoire : quand on ose faire un spot courageux, intelligent et différent, on finit par reveiller l'intéret des gens qui s'étaient endormis sur les créations soporifiques habituelles. Et quand on sait bien utiliser les références du passé, on peut commencer à preparer le futur. Longue vie à la pub qui casse les codes, qui ose, qui innove, qui dérange et qui fait réagir.
Je ne me lasserai jamais de donner mon avis : "Comment affirmer que la pub est bien faite lorsqu'elle a été le produit de plagiat ? Ce n'est pas le premier dérapage de SFR : par le passé Luc Besson avait porté plainte pour plagiat du "5ème élément". De plus, pour avoir étudié à l'université les Monty Python, je peux affirmer que les publicitaires, en adaptant les Monty Python à un concept marketing et mercantile, n'ont rien compris à l'esprit du groupe : leurs séquences se voulaient être du non-sens, et donc non-applicable à toute institution et tout ordre. Car si une personne regarde la pub sans en connaitre la référence, elle ne comprendra pas la corrélation entre les images et la marque. Pousser le plagiat à ce point est du vice, d'autant que le droit anglais en matière de droits d'auteur n'est pas le même qu'en France..."
Super marrant ce site flash sur lequel vous pouvez créer des portraits robots pour jouer aux Experts :-) Là, c'est censé me ressembler, et ben c'est pas si facile à faire parce que ça me ressemble pas du tout ! Merci François :-)
Je vais un peu arrêter la Cuisine du graphiste. Plus trop de temps, un peu lassé et un voyage assez long qui se profile à l'horizon. Je vous dis donc au revoir et merci d'avoir été si nombreux à venir ici jeter des yeux curieux sur les travaux de gens talentueux :-) Et, qui sait, peut-être à bientôt :-)
Un anonyme m'a demandé comment mettre une image en fond de page sur blogger, et ma réponse refuse de passer en commentaire (trop de code). Je vais donc tenter de lui répondre ici. Ce n'est pas tout simple : Il faut aller dans "modèle" "modifier le code html" chercher la phrase : body { background: qui se trouve à la fin des /* Variable definitions Ensuite il faut avoir l'image que l'on veut en fond hébergée quelque part (chez flickr par exemple). On récupère l'adresse internet de l'image (cette adresse doit se terminer par .jpg ou .gif) et on colle cette adresse dans le code à la suite de : body { background: en la plaçant dans le code html suivant : url(" ici ce trouve l'adresse de l'image ") repeat; margin:0; Si je voulais mettre ce dessin de mon fiston en fond (par exemple) J'héberge le dessin sur flickr, je récupère son adresse en faisant un click droit et view image (dans ce cas c'est " http://far...
Je suis absolument d'accord avec toi. Cette polemique est sterile, mais si elle a déchainé tant de réactions c'est aussi parce que elle a déclenché beaucoup de passions. In y a encore un truc à retenir dans cette histoire : quand on ose faire un spot courageux, intelligent et différent, on finit par reveiller l'intéret des gens qui s'étaient endormis sur les créations soporifiques habituelles. Et quand on sait bien utiliser les références du passé, on peut commencer à preparer le futur. Longue vie à la pub qui casse les codes, qui ose, qui innove, qui dérange et qui fait réagir.
RépondreSupprimerJe ne me lasserai jamais de donner mon avis :
RépondreSupprimer"Comment affirmer que la pub est bien faite lorsqu'elle a été le produit de plagiat ? Ce n'est pas le premier dérapage de SFR : par le passé Luc Besson avait porté plainte pour plagiat du "5ème élément". De plus, pour avoir étudié à l'université les Monty Python, je peux affirmer que les publicitaires, en adaptant les Monty Python à un concept marketing et mercantile, n'ont rien compris à l'esprit du groupe : leurs séquences se voulaient être du non-sens, et donc non-applicable à toute institution et tout ordre. Car si une personne regarde la pub sans en connaitre la référence, elle ne comprendra pas la corrélation entre les images et la marque. Pousser le plagiat à ce point est du vice, d'autant que le droit anglais en matière de droits d'auteur n'est pas le même qu'en France..."