Le rôle du designer
"Designer interactifs", par la voix de Benoît Drouillat, se fait le relais d'un discours prononcé par Bruce Nussbaum à Parssons.
Ce texte ("les designers sont-ils les ennemis du design ?") pose la question du rôle du designer dans un monde où, grâce (ou à cause) des outils Web tout le monde est devenu designer. Sur un mode résolument provocant, Nussbaum prône une nouvelle voie plus participative de la recherche graphique, une forme de design démocratique.
Cela me rappelle aussi un texte de Anuhi Lou écrit sur "Admirable design" : Le design liquide.
Anuhi y parle du logo comme marque de consommation, donc appropriable par le consommateur, et, de ce fait, devant s'adapter à la multiplicité. Le consommateur n'étant pas un et unique, le logo-marque (et tous ses produits dérivés) devrait pouvoir être repensé comme adaptatif et personnalisable.
Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça… Avec le Web, le spectateur c'est d'abord mué en acteur puis en réalisateur.
Comment va évoluer notre métier dans cette nouvelle répartition des rôles ? Vers un rôle de conseiller, de guide pédagogique ou bien sommes-nous trop prétentieux (comme le suggère Bruce Nussbaum) pour accompagner cette évolution et y trouver notre place ? Ces textes ont, en tous cas le mérite de poser des questions qui grattent vraiment :-)
Ce texte ("les designers sont-ils les ennemis du design ?") pose la question du rôle du designer dans un monde où, grâce (ou à cause) des outils Web tout le monde est devenu designer. Sur un mode résolument provocant, Nussbaum prône une nouvelle voie plus participative de la recherche graphique, une forme de design démocratique.
Cela me rappelle aussi un texte de Anuhi Lou écrit sur "Admirable design" : Le design liquide.
Anuhi y parle du logo comme marque de consommation, donc appropriable par le consommateur, et, de ce fait, devant s'adapter à la multiplicité. Le consommateur n'étant pas un et unique, le logo-marque (et tous ses produits dérivés) devrait pouvoir être repensé comme adaptatif et personnalisable.
Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça… Avec le Web, le spectateur c'est d'abord mué en acteur puis en réalisateur.
Comment va évoluer notre métier dans cette nouvelle répartition des rôles ? Vers un rôle de conseiller, de guide pédagogique ou bien sommes-nous trop prétentieux (comme le suggère Bruce Nussbaum) pour accompagner cette évolution et y trouver notre place ? Ces textes ont, en tous cas le mérite de poser des questions qui grattent vraiment :-)
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